Selon Marie
Décorer un sapin, monter une crèche, écouter des chants de Noël : autant d’occasions « rasoir » à priori, selon Marie, qui lui ont permis de vivre de jolies tranches de camaraderie.
Hyperbole d’hyper
C’est devenu un tic de langage : pour donner de l’importance à un mot, on le fait enfler avec le préfixe « hyper ». Qu’est-ce que cela cache ?
L’automne ne compte pas pour des pommes !
Tandis que l’actualité du monde tonne, parler de l’automne nous offre un petit répit. Ninja, l’esprit poétique, ne cède par à la langueur monotone du moment. Quand vient la saison des colchiques, la voilà qui devient championne de rimes en « onne ».
Zoom arrière
Le temps passe mais les émotions restent. Se référant à Georges Pérec, Marie inventorie quelques grands moments de son existence où l’homme a brillé pour son courage ou engagé le monde dans le chaos.
Mon amie la rose (3)
Quatre copines évoquent l’une des figures de leur adolescence : Françoise Hardy. Elles lui rendent hommage en écoutant l’une de ses derniers disques.
La musique est-elle soluble dans l’eau de mer ?
A chacun ses goûts musicaux. Les Finlandais feraient bien s’en souvenir plutôt qu’obliger les jeunes à déguster de la musique classique sur leurs plages.
Plutôt Audiard ou plutôt autofictions tire-larmes ?
Quand Marie disserte de littérature avec sa copine Rose, cela convoque Saint-Simon, Annie Ernaux et Michel Audiard. Vive la culture !
Digressions poétiques sur les animaux en Ehpad
Accueillir les animaux domestiques dans les maisons de retraite avec leurs maîtres ? Thésy Bionnier vient de nous donner son point de vue (https://www.lescurieuxaines.fr/des-animaux-en-ehpad-vraiment)… Marie nous rappelle à présent que chats et chiens étaient ennemis pour la vie, l’avions-nous oublié ? Un regard décalé sur la nouvelle « loi du bien vieillir ».
La Chine au Col du Tourmalet, quel avenir pour les dialogues ?
Le voyage du président Xi Jinping en France et son déplacement dans les Pyrénées ont étonné Isabelle. Et pendant ce temps, l’Europe peine à dialoguer.
Gribouille et la mort
La mort fait peur. Et plutôt qu’amadouer cette étape inéluctable du parcours d’un être humain, en cherchant à comprendre ce qui se passe au moment de l’agonie, on la hâte. Réflexion sans complaisance d’une octogénaire.