On vous dit « merci » / 3
A quoi ressembleraient nos vies sans ces personnes, qui, par leur attention aux autres, mouillent le maillot de l’humanité ? Les rédactrices des Curieux Aînés leur disent merci.
On vous dit « merci » / 2
A quoi ressembleraient nos vies sans ces personnes, qui, par leur attention aux autres, mouillent le maillot de l’humanité ? Les rédactrices des Curieux Aînés leur disent merci.
On vous dit « merci » / 1
A quoi ressembleraient nos vies sans ces personnes, qui, par leur attention aux autres, mouillent le maillot de l’humanité ?
Les rédactrices des Curieux Aînés leur disent merci.
Un peu d’humour pour contrebalancer le climat lourd !
L’actualité est sombre et met du plomb dans les idées. Ninja résiste en taquinant les expressions françaises autour du mot « pied ». Quel pied !
Le rire est-il devenu persona non grata ?
Parce que les temps sont sombres et difficiles, faudrait-il afficher une tête d’enterrement ? Et se priver de ce qui fait tant de bien au mental, comme au physique d’ailleurs, de rire ? Andrée s’interroge en citant Pierre Dac.
Des hommes, et des animaux…
Depuis l’attaque d’Israël par le Hamas et les exactions, particulièrement barbares, commises dans les kibboutz, on entend comparer l’homme à un animal. Et si les animaux valaient mieux que cela ?
La liberté, c’est plus facile en chantant.
Touchée par le sort de l’iranienne Narges Mohammadi, prix Nobel de la paix 2023 qui purge une peine de prison de 31 ans, Ninja disserte sur la liberté.
Expression malheureuse
La langue française est une langue vivante qui s’enrichit en permanence de mots nouveaux venus d’ailleurs et d’expressions. Mais elle attire aussi les tics de langages, ainsi la formule utilisée à tout va et dans n’importe quel contexte : « Pas de souci ». Ce qui n’est pas du goût d’Isabelle.
La poste à l’ère numérique
Envoyer un colis, a fortiori à l’étranger, est devenu tout une affaire…Thésy y perd son latin et les employés de la Poste aussi !
Remplir les cerveaux, c’est bien, éduquer les cœurs, c’est important aussi.
Et si une éducation qui ferait la part belle à des qualités du cœur – la bienveillance, le respect, le partage rendait la société moins violente ? C ‘est la question que pose Françoise suite aux cinq nuits d’émeute du mois juillet dernier.