Aujourd’hui, Rouen est une ville morte privée de ses petits commerces, de toute cette chaleur humaine qui la fait vivre et qui la rend si agréable. Tout est figé : l’affiche de cinéma « la bonne épouse », « une comédie euphorisante, sortie le 11 mars » me fait sourire un peu… Les vitrines de magasins restent identiques au fil des jours. Je relis à chaque fois les mêmes affiches : « En raison des mesures gouvernementales dues à l’épidémie de coronavirus… »
photo RL – 23 avril 2020
Lire l’article en entier